Alors qu’on attendait une mesure concrète pour stopper la grogne des ex-FDS et ses mouvements qui secouent ce jour Abidjan, Alassane Ouattara les a invité à regagner les casernes en évoquant l’Accord de Ouagadougou, comme relevé du communiqué de la présidence lu en direct par Bruno Koné sur les antennes de la RTI.
En effet, le président de la République a justifié l’issue favorable pour les mutins de l’ex rébellion en expliquant que ces derniers n’avaient pas, contrairement aux autres (les FDS, ndlr), reçu leurs primes de sécurisation entre 2007 et 2011, comme mentionné dans l’accord de Ouagadougou.
Le président a également déploré le bilan de 4 décès et plusieurs blessés des évènements de mardi et annoncé qu’une enquête était en cours « pour situer les responsabilités ».
Il annonce également une rencontre entre les militaires en colère et le ministre Donwahi pour relever les doléances de ces derniers en vue de décisions pour « l’amélioration de leurs conditions de vie ».
Enfin, au sujet de la grève des fonctionnaires, Alassane Ouattara s’en remet à la rencontre au ministère de la fonction publique prévue pour se tenir demain jeudi.
Reste désormais à savoir si l’annonce présidentielle annihilera le mouvement militaire en cours non pour des revendications de soucis « de conditions de vie » mais pour le paiement de primes « d’effort de paix ou de guerre ».
En effet, le président de la République a justifié l’issue favorable pour les mutins de l’ex rébellion en expliquant que ces derniers n’avaient pas, contrairement aux autres (les FDS, ndlr), reçu leurs primes de sécurisation entre 2007 et 2011, comme mentionné dans l’accord de Ouagadougou.
Le président a également déploré le bilan de 4 décès et plusieurs blessés des évènements de mardi et annoncé qu’une enquête était en cours « pour situer les responsabilités ».
Il annonce également une rencontre entre les militaires en colère et le ministre Donwahi pour relever les doléances de ces derniers en vue de décisions pour « l’amélioration de leurs conditions de vie ».
Enfin, au sujet de la grève des fonctionnaires, Alassane Ouattara s’en remet à la rencontre au ministère de la fonction publique prévue pour se tenir demain jeudi.
Reste désormais à savoir si l’annonce présidentielle annihilera le mouvement militaire en cours non pour des revendications de soucis « de conditions de vie » mais pour le paiement de primes « d’effort de paix ou de guerre ».
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