Au pouvoir depuis 1979, le président angolais José Eduardo dos Santos
a annoncé son intention de quitter la vie politique en 2018. Il est
actuellement le second plus ancien chef d'État en poste en Afrique.
Après près de quarante ans de pouvoir sans discontinuer, le président angolais José Eduardo dos Santos a prévu de quitter son fauteuil de chef d’État dans deux ans, après la fin de son actuel mandat.
"J'ai pris la décision de quitter la vie politique en 2018", a déclaré le chef de l'Etat de 73 ans devant le comité central de son parti, le MPLA. Son mandat actuel se termine en 2017, mais il n'a pas précisé pourquoi il comptait quitter la vie politique l'année suivante.
À la tête du pays depuis 1979, José Eduardo dos Santos, âgé de 73 ans, est le second plus ancien chef d'État au pouvoir en Afrique, devancé seulement par le dirigeant de Guinée Equatoriale Teodoro Obiang Nguema, arrivé au pouvoir un mois avant lui. Surnommé le "Machiavel de l’Afrique" en raison de son goût prononcé pour l’intrigue politique, il avait assuré qu’il ne se présenterait pas à la présidentielle d’août 2012.
Il s’est finalement porté candidat, et a été élu à la faveur d’une très forte abstention avec près de 72 % des voix. La Constitution angolaise ne prévoit pas d'élection présidentielle au suffrage universel, mais stipule que le président du parti vainqueur des législatives devient automatiquement chef de l'État.
Après près de quarante ans de pouvoir sans discontinuer, le président angolais José Eduardo dos Santos a prévu de quitter son fauteuil de chef d’État dans deux ans, après la fin de son actuel mandat.
"J'ai pris la décision de quitter la vie politique en 2018", a déclaré le chef de l'Etat de 73 ans devant le comité central de son parti, le MPLA. Son mandat actuel se termine en 2017, mais il n'a pas précisé pourquoi il comptait quitter la vie politique l'année suivante.
À la tête du pays depuis 1979, José Eduardo dos Santos, âgé de 73 ans, est le second plus ancien chef d'État au pouvoir en Afrique, devancé seulement par le dirigeant de Guinée Equatoriale Teodoro Obiang Nguema, arrivé au pouvoir un mois avant lui. Surnommé le "Machiavel de l’Afrique" en raison de son goût prononcé pour l’intrigue politique, il avait assuré qu’il ne se présenterait pas à la présidentielle d’août 2012.
Il s’est finalement porté candidat, et a été élu à la faveur d’une très forte abstention avec près de 72 % des voix. La Constitution angolaise ne prévoit pas d'élection présidentielle au suffrage universel, mais stipule que le président du parti vainqueur des législatives devient automatiquement chef de l'État.
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