Malgré
un bon Rafael Nadal, Roger Federer a conquis ce dimanche son 26e titre
en Masters 1000 en deux manches (6-3, 6-4) et 1h34 de jeu. Opportuniste
dans les moments-clé, le Suisse a aussi bénéficié d’un soupçon de
réussite.
Rien
n’arrête Roger Federer en ce moment. Bien meilleur qu’il y a deux
semaines à Indian Wells, où il avait été balayé par le Suisse en
huitième de finale, Rafael Nadal n’a cependant rien pu faire pour mettre
fin à la série de rêve du Suisse, qui a donc remporté tous les titres
majeurs depuis son retour à la compétition, en janvier dernier.
Après
le premier Grand Chelem de la saison à Melbourne et le premier Masters
1000 de la saison à Indian Wells, Federer a poursuivi son sans-faute à
Miami (il s’est toutefois incliné en mars au tournoi ATP 500 de Dubaï
contre le Russe Evgeny Donskoy). Comme en 2006, “Rodger” sort en tout
cas vainqueur des trois premiers grands rendez-vous de la saison. Si le
Suisse est parfois apparu fatigué en Floride et si son niveau de jeu a
peut-être été moins brillant qu’en Australie et qu’en Californie, c’est
en se montrant extrêmement solide mentalement, et intelligent
tactiquement, qu’il a su aller au bout. Autant de signes d’une confiance
définitivement retrouvée.
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